Tarushi Rune est le fils du Directeur Général de l’OMS, Organisation Mondiale de la Santé. Ce dernier voyage partout dans le monde, étant le supérieur des Médecins Sans Frontières. Sa mère, est une chirurgienne reconnue, qui possède la gérance de cliniques privées, réalisées uniquement pour les stars et VIP. La famille Tarushi possède plusieurs succursales dans le pays Nippon, ainsi que des hôpitaux. Rune est fils unique, héritier de cette immense fortune. Dès son plus jeune âge, on lui reconnait une certaine intelligence, une malice assez rare. Ses professeurs souhaitent qu’il saute des classes, mais ses parents refusent. Rune arrive enfin au collège et surpasse tous ses camarades, il donne même des cours particuliers à qui le souhaite. Les études deviennent une grande passion, mais même s’il a du respect sur les sauveurs de vie que sont les médecins, il ne souhaite en aucun cas en devenir un. Pourtant, une fois arrivé au Lycée, il rencontre une demoiselle et en tombe amoureux. Elle est sa première petite amie. Deux ans après il finit même par se tatouer son prénom en haut de son dos… Mais il se pose un énorme problème. Cette dernière avait en fait une maladie orpheline, et n’avait pas longtemps à vivre. Un beau jour sa vie prit fin. Rune tombe dans une ultime dépression, et après s’être relevé, il prend la décision de devenir médecin lui aussi. S’il devait avoir un but dans sa vie, ce serait donner de l’espoir aux malades les plus atteints et trouver des solutions pour les guérir. Il ne le dit pas, mais il désire être le plus grand médecin au monde. Voilà pourquoi il ne laisse personne le surpasser dans sa promo…

Jun Hyeon est née en Corée du Sud à Seoul, sa mère, une femme d'affaire qui a réussi à se faire une place dans le monde de la finance avait insisté pour que son enfant naisse dans de bonne condition près de chez ses grands-parents maternels. Son père ? Que dire sur lui ? Il aime sa femme oui, mais il aime aussi beaucoup ses secrétaires et les autres partenaires de travail, pour lui son fils ne lui permet qu'une seule chose, être son héritier. Mme Kim savait que son mari la trompait, mais ça ne lui faisait rien, elle avait maintenant un fils qu'elle aimerait. Jun Hyeon fut donc un enfant pourrit gâté par sa mère et ses grands-parents maternels, mais ignoré par son père.

Pendant l'adolescence, il se rebella, dès que son père était en Corée, il se débrouillait pour le rencontrer et pour pouvoir l'insulter. Sa mère essayait de l'en empêcher, mais impossible, Jun Hyeon arrive à avoir un sale caractère. Après deux ans, son père arrêta de venir à Seoul. Le jeune homme savoura le départ de son père, même si au fond de lui il voulait que son père le punisse, lui dise d'arrêter ses infanteries... Mais non, cet homme resta de marbre... Il se contentait d'ignorer ce fils trop brouillant.

A 22 ans, Jun Hyeon découvrit qu'il avait un frère cadet, issu d'une liaison de son père avec une secrétaire, celui-ci vint le rencontrer, il n'avait que sept ans de moins que lui... C'était étrange... Il y avait donc une deuxième personne qui n'avait pas de père. Mais il apprit que Fujiwara Takahashi avait été adopté par le mari de sa mère... Il n'avait donc pas été seul, Jun Hyeon transféra sa haine sur ce frère qui avait tellement de chance.

Il est aujourd'hui à Umi Seom University, entament sa dernière année en finance. C'est un élève prometteur qui semble pouvoir réussir dans même milieu que son père.

Qui pourrait croire Geun Min est le fils d'un des plus grands propriétaires de casinos du monde, à Las Vegas, à Tokyo ou encore à Seoul, M. Yoon possède des casinos dans tout le monde. On peut dire qu'il est assez riche. Sa femme est quant à elle une grande danseuse de pole dance. Oui, ils se sont rencontrés dans un des casinos de monsieur. Ils ont ensuite eu Geun Min, un beau petit garçon. Ils n'avaient pas le temps de trop s'en occupé, donc dès qu'il fut assez grand, ses parents le laissèrent dans un internat. A l'âge de 8 ans, il avait une chambre qu'il partageait avec d'autres garçons dans le même cas que lui. C'était une école pour garçon, d'après ses parents ça lui permettrait de faire des études sérieuses, sans fille, il n'y avait pas besoin de faire la fête.

Ce fut à partir de 15 ans qu'il commença à sortir en douce de l'internat avec ses amis, ils partaient faire la fête, qu'il y ait des filles ou pas. Il en rencontra bien évidemment, s'amusant à les séduire et les quitter le lendemain... Il était un peu le beau gosse de l'académie et il le savait, il en profitait, jouant des mauvais tours à ses amis, il finit par se faire une réputation de tombeur, mais aussi de personne dont il fallait absolument être ami avec... Il se sentait de plus en plus seul, mais ne savait pas comment changer ça. Il rencontra un jour, une fille qui lui donna envie de changer pour elle, il l'aimait, mais ce n'était pas réciproque... Elle, elle aimait un autre garçon, elle considérait Geun Min comme un simple ami... Ce qui ne l'aida pas à changer.

Entrer dans UmiSeom lui permettra peut-être de changer, enfin, il l'espère, il a quand même une réputation qui se suivra un peu partout, mais peut-être qu'il trouvera une personne qui le comprendra et l'aidera.

Il est né avec une cuillère en argent dans la bouche, mais ce dernier ne fait pas le bonheur n’est-ce pas ? JaeWook en est la preuve vivante. Il a été élevé par des nourrices, ses parents étaient bien trop occupés entre les conférences, les réunions, les déplacements, pour lui accorder toute l’attention qu’un enfant était en droit d’attendre. Fils unique, il eut dès son plus jeune âge une pression constante sur ses épaules, devenue écrasante à l’adolescence où il envoya tout le monde boulé ! De ses parents à ses professeurs en passant par ses nourrices. Bagarreur, le moindre mot pouvait le faire sortir de ses gongs et comme il est fils de milliardaires, les adultes laissaient faire se disant qu’avec les années il s’assagirait.
Ils n’ont pas eu tord, mais il a fallu attendre un drame pour que cela arrive : Il reçu un coup de poignard d’un jeune de son âge qu’il avait battu juste parce que ce dernier l’avait heurté dans le couloir du Lycée sans le vouloir. Il a failli perdre la vie, la lame n’ayant heureusement fait qu’effleurer son rein, ce dernier pu s’auto-guérir avec l’aide de la médecine.
A son entrée à l’université, ce n’était plus le même, il semble détaché de tout de tout ce qui l’entour, si ce n’est de ses amis, le reste n’existe pas pour lui. Il ne cherche plus embrouille, mais il ne faut pas trop l’attiser. Son poing est toujours prompt à venir s’écraser sur une joue qui aurait excitée sa colère. C’est pour son air mystérieux et désinvolte qu’il est devenu, malgré lui, un des populaires. Il parait qu’il est cool, cela lui convient.
Niveau étude, il suit la voie tracée par ses géniteurs, non pas qu’il soit à fond dans la Gestion, mais il n’est pas non plus contre, bref, il se laisse porter par le vent…

Reina est née à Tokyo, d’un père Coréen et d’une mère Japonaise. Son père est le créateur d’une grande entreprise de Joyaux, créatrice de bijoux de grandes valeurs, connu dans toute la Corée. Sa mère est dans un groupe de publicité. Cependant, la demoiselle est née avec une maladie respiratoire, l’asthme. Il lui suffit d’être en situation de faiblesse ou en stress pour faire une crise. Elle se promène toujours avec son inhalateur. Reina a un grand frère qui a déjà quitté le cocon familial pour se lancer dans l’architecture. Il a aujourd’hui 27 ans, et la jeune fille a de très bons rapports avec lui, même s’ils se voient rarement. Petite, Rei a connu de grosses difficultés. Elle a été ijime dès son plus jeune âge. Elle était le bouc émissaire de tous, passant tout son collège sans aucun ami. Ses parents toujours très absents ne le savaient pas et elle n’arrivait pas à leur en parler. Au Lycée, elle se met automatiquement en mode défense. Elle rejette tous ceux qui l’entourent et décide de rester seule par manque de confiance. Petit à petit, la jeune fille finit par s’ouvrir et brise ses barrières. Elle commence à sortir le soir, voire même chaque soir, ce que ses parents commencent à lui reprocher. Elle obtient son diplôme haut la main, puis rentre enfin à l’université. Elle n’est pas vraiment habituée à être aussi populaire avec son statut d’élite, mais elle s’y fait.

Han Mi Sun plus connue sous le pseudonyme de Gary, est née un doux matin de janvier à Yangsan en Corée. Mi Sun vient d’une aux revenu moyen, fille unique, elle ne passe pas beaucoup de temps en compagnie de ses parents qui comme tous bon coréens qui se respecte travail beaucoup. Elle passe donc beaucoup seule, et pour palier à ce manque d’affection, elle se dirige très vite vers la musique, apprenant en autodidacte le piano et la guitare. Mais sa passion n’est pas très bien perçut dans sa famille qui considère qu’être artiste n’est pas un métier. N’abandonnant pas son rêve, elle postule pour entrer dans une des plus grandes agence artistique de Corée, ou son talent est tout de suite reconnu. Elle est engagée l’année suivante et monte à Seoul l’année de ses seize ans.
Deux ans plus tard elle sort son premier album sous le pseudo de Gary. L’album n’est pas un grand succès auprès des radios, mais la jeune fille ce crée grâce à cela un petit réseau de fans, qui grandit au fur et à mesure de ses apparitions publique. Son style musicale et sa popularité prennent un tournant décisif l’année suivante, elle fait une collaboration remarqué avec un grand compositeur de musique d’envergure international, et sa volonté de mélangé pop, hip hop et rock est enfin acceptée, fini la pop mielleuse qu’on lui a obligé de chanter. Gary devient une véritable artiste, elle a alors dix neuf ans, et toutes les portes s’ouvrent devant elle, mais toutes les portes ne sont pas forcément bonne à passer.
Plus sa popularité grandissait plus la jeune fille tombait dans les abîmes du show bisness. A vingt ans, Gary fait plus parler d’elle dans les magasines à scandale que dans les émissions consacrés à la musique. Après plusieurs incartades, et mises en jugement, son agence décide de mettre en suspend sa carrière le temps qu’elle se reprenne en main et décide de l’envoyer étudier aussi loin que possible de Seoul tout en pouvant garder un œil sur elle. Déboussolée, Mi Sun accepta cette proposition persuadée que cette mise en quarantaine lui permettrait de retrouver l’inspiration qui lui manque depuis sa descente aux enfers.

Namila est née à Osaka. Sa mère est à la tête du monde du thé et son père est un peintre reconnu dans tout le pays. Nombreux de ses tableaux sont exposés dans des Musées. Namila est donc éduquée dans l’art, la politesse, le respect, mais surtout dans le monde du thé. Elle participe a de nombreuses cérémonie du thé. La jeune fille est très adulée dès le Lycée, par les hommes, nombreux veulent sa main à l’heure qu’il est. Mais la demoiselle refuse littéralement de se fiancer avant la fin de ses études, et en plus, avec un homme qu’elle ne connait pas. Namila ne croit pas vraiment en l’amour, mais elle pense que le meilleur moyen d’avoir un bon mariage, c’est de choisir son partenaire soi-même. Avec son entourage, elle est tout ce qu’il y’a de plus doux et de plus sincère. Cependant, elle ne vous chouchoutera certainement pas si vous avez tort. Elle sait donner des sermons, remonter les bretelles, mettre des points sur les i. Son rêve serait de devenir psychologue plus tard et de voyager partout dans le monde. Pour se faire, quand elle a le temps, elle apprend toute seule l’anglais et le Français.

Aya est née à Tokyo, d’une mère Japonaise et d’un père californien. La jeune fille est totalement bilingue, passant toujours ses vacances en Amérique. Ses parents sont à la tête de la première entreprise automobile au Japon, ils font donc un commerce quasiment international. Les voitures, le commerce et tout ça, ce n’est vraiment pas la tasse de thé de notre brunette. Aya ne s’intéresse qu’à la gloire et à la beauté. Pour elle c’est clair : dans la vie, au final, tout se joue sur l’apparence. Elle passe beaucoup de temps à prendre soin d’elle. Que voudrait-elle faire plus tard ? Actrice ! Mais ses parents qui lui mettent une grande pression, sont littéralement contre. Ils la mettent de force dans des études de commerce pour qu’elle reprenne l’entreprise familiale. Mais la demoiselle refuse de travailler et n’ouvre jamais ne serais-ce qu’un seul de ses cahiers. Si elle reste à Umi-Seom, c’est parce qu’il y’a des héritiers et surtout des célébrités, quoi de mieux pour remplir son carnet de contact ? Elle est bien décidée à réaliser son rêve d’actrice. Elle utilise ses atouts et surtout la manipulation pour montrer à l’université qu’elle est la meilleure. Comment cela va-t-il finir ?

Lae est à la base, fille de parents Coréens. Ces derniers sont morts alors qu’elle avait huit ans. L’enfant se retrouva dans un orphelinat, mais fut adoptée à l’âge de 16 ans par un homme d’affaire Anglais, et par n’importe lequel car ce dernier s’acère travailler à la NASA. Il décide avec sa fille de s’installer dans la capitale Nippone grâce à sa mutation. Il n’est pas toujours présent à cause de son travail, mais garde de très bonnes relations avec sa fille. Lae ne manque plus de rien et devient une fille à Papa. Pourtant, elle n’en devient pas capricieuse et ne prend absolument pas la grosse tête. C’est une jeune fille agréable avec qui il est bon de passer du temps. S’il y’a quelque chose que son père adoptif regrette, c’est son affreux manque d’intelligence. Il faut le dire, Lae est débile. Même si elle fait des efforts en cours, elle parvient rarement à avoir la moyenne. Si elle passe toujours en classe supérieur c’est bien grâce au statut de son père… Mais il y'a une chose qu'il faut savoir : Lae a une peur bleue des hommes. Elle n'a jamais eu de petit copain et elle n'en veut pas vraiment. D'où lui vient cette phobie ? Elle ne le sait pas vraiment. Peut-être parce qu'il n'y avait que des filles dans l'orphelinat dans lequel elle a vécue...

Hiro est né à Osaka au Japon, ses parents travaillent dans l'immobilier et gagnent très bien leurs vies. Quand le garçon eut 8 ans il déménagea dans la capitale, Tokyo et dû se faire de nouveaux amis. Son accent d'Osaka le rendait mignon et attachant. Il se fit rapidement la réputation du plus mignon des garçons du lycée, parfois, on le confondait avec une fille, il reçut comme surnom... Princesse. Ca ne le dérangeait pas vraiment, il trouvait même ça flatteur qu'on l'appelle ainsi.

Quand il eut l'âge de s'intéresser aux filles, il trouva se surnom assez difficile à porter... Bien sûr, plusieurs filles lui faisaient des demandes, il en acceptait, mais à chaque fois, elle le laissait pour un autre garçon soit disant plus viril, car princesse, ça ne le faisait pas trop... Il n'a jamais eu de véritable petite amie sérieuse, il tomba une fois amoureux d'une, mais elle le laissa tomber rapidement. Pour la même raison que les autres. Ca lui brisa le coeur et il commença à se demander s'il ne devait pas essayer avec les garçons.

Des garçons homosexuels à Tokyo, ce n'est pas vraiment ce qui cour les rues, pourtant il réussit à en trouver un. Il aimait bien que Hiro s'appelle princesse, il trouvait ça mignon. Le hic dans cette relation n'était pas que ses parents ne devaient pas être au courant de sa supposé homosexualité, mais qu'il n'était pas amoureux de ce garçon. Ce fut très difficile de s'en séparer, il fut harcelé et commença à entrer en dépression. Il commença à se réfugier dans un monde de rêverie, où il ne pourrait blesser personne et où, surtout, personne ne pourrait le blesser. Il commença à avoir peur de ce qui pourrait arriver...

Il décida de faire médecine, pas parce qu'il avait envie, mais parce qu'il en avait les capacités. UmiSeom est peut être le lieu où il pourra oublier son ex 'petit ami un peu trop collant et avoir une relation stable.